Les femmes dirigeantes doivent saisir les opportunités de faire grandir leur réseau et de collaborer avec les autres leader(e)s africaines.

Même si l’on court toutes après le temps, il est indispensable de savoir se poser pour interroger ses habitudes, se remettre en question de façon constructive, identifier ses forces comme ses axes d’amélioration pour faire rayonner plus largement son leadership.

Les réseaux féminins ne se résument pas aux liens d’affaires ; ils permettent aux femmes d’ancrer solidement leur leadership. Une femme n’est pas définie par sa fonction, mais par la force de ses relations.

En 2100, l’Afrique représentera 40 % de la population mondiale. Sans la participation, la contribution effective des femmes, le développement économique du continent sera compromis. La femme africaine est l’avenir de l’Afrique.